top of page

Propos  no 9

 

La dernière chronique ou le premier blog de la version 2020 a généré bien des réactions, toutes agréables à lire. A vous tous, un grand merci d’avoir pris un peu de temps pour prolonger cette interrogation.

Parmi ces propos avisés, deux d’entre eux m’ont particulièrement fait vibrer. Aussi ai-je choisi la solution de vous en faire part, ne vous en dévoilant toutefois que le trait principal de chacun d’eux.

Le fait d’être fort différent l’un de l’autre offre une touche supplémentaire d’intérêt, élargit la palette et apporte un éclairage stimulant.

Dans le prolongement des réflexions d’Homère, Bouvier et les autres, le premier propose un poème de Baudelaire « Le Voyage »

 

https://paroles2chansons.lemonde.fr/auteur-charles-baudelaire/poeme-le-voyage.html

dont le dernier vers est :

Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ?
Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau ! 

 

En revanche, le second souligne que pour lui : « Y’a pas de réponse à ce questionnement. Fais ou faisons ce que nous avons à faire et le reste, on s’en fout ! »  Si ce n’est : ce que

peut provoquer « Le Sinistré, Caloptéryx ou les autres » à ceux ... qui les regardent, les touchent et en sont émus. 

Finalement, La Madeleine et les explications de Proust contenus dans le « Grain à moudre no 8 » ne devraient pas être très éloignés de tout cela ?  L’auteur de cette vaste comédie humaine -- A la recherche du temps perdu -- nous y parle « des troubles de la mémoire et des intermittences du cœur » … A suivre… certainement !

Image_036_edited.jpg
bottom of page