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Synthèse du sondage de base. 

 

Le premier constat montre que cette idée ne laisse que peu de place à l’indifférence : donc, une bonne nouvelle. Une seule personne n’a pas donné suite et une autre se ralliera à la majorité, n’ayant pas d’opinion tranchée.

Le 1/5 des avis pense que le coup de cœur doit être suivi de l’achat en partant du principe que la disponibilité financière est présente. La version « location -vente éventuelle » doit être proposée plutôt aux lieux publics, hall d’entreprise, salle d’attente de médecins ou d’avocats ainsi que pour la décoration de vitrines ou de restaurants…

Relevons ci-après l’hypothèse pertinente émise par l’un d’entre vous :

« Par nature, l'art fait principalement appel à la sensibilité, donc à la subjectivité humaine, alors que le financement d'une opération commerciale est du ressort de la raison » 

Il poursuit et signe par une conclusion envisageable : « Ce qui pourrait générer une certaine antinomie »

Les ~ 4/5 restants (79 %) apprécient le projet avec mention innovante du fait que l’acquisition passe par un louage à moyen ou long terme et offre ainsi à tous la possibilité d’avoir rapidement chez soi le coup de cœur tout en le finançant en fonction de son budget. Ils font le même constat que ci-dessus : ce processus peut être évidemment proposé aux différents lieux évoqués.

Le dessin BD du 30.05 de mon beau-frère Roland (Bravo à lui) était prémonitoire. Il a donc trouvé tout naturellement sa place dans la chronique de juin 2022. 

N.B. Deux jours plus tard, L’Auberge communale de Mézières souhaitait 4 de mes élucubrations pour décorer les embrasures des fenêtres du restaurant. Ce sont Perroquet marin, Bécasse des bois, Bécasseau maubèche et Ibis césar, les élus des patrons.

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