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Chronique de la fin mai


Une fois encore :

les choses arrivent parce qu’elles doivent arriver, mais aussi parce qu’on les provoque un petit peu … tout en leur laissant le temps d’arriver !

Aussi, grand merci à Claude Gilliéron de proposer ce prolongement poétique :

Aragon / Brassens « Il n’y a pas d’amour heureux »

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard

Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson

Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson

Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson

Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare

Or donc, après cet hiver bien humide suivi peu après d'un temps pascal aux couleurs des oeufs teints ou aux saveurs des lapins en chocolat....

Voilà que surgissent des Anatidés tout printaniers, bien qu'imaginés dès l'automne dernier...

Grès coquillier de la Molière dans ses versions bleu et jaune et Calcaire orangé de Hauterive ont été façonnés et polis pour le plaisir des yeux et du toucher.

Ils apparaîtront en galerie sous de charmantes dénominations, jugez plutôt :

Le Grèbe jougris

Le Malard emplumé

Le Canard-signe chinois

Je me réjouis de vous retrouver à l'occasion d'une prochaine chronique ou de vous lire peut-être si ... ces nouvelles élucubrations suscitent en vous des réactions !

Et un clin d'oeil avant le PS : " l’ouverture d’esprit n’est pas forcément synonyme de fracture du crâne " ... celle-la pourrait bien être de Desproges !

PS. Au TKM, l'autre soir et face au tableau des citations du foyer, j'ai lu :

" LES REVES SONT LE CŒUR SACRE DE NOTRE IMAGINATION "

Une citation d’Omar Porras pour sa saison 2017-2018 qui m'a interpellé "profond" ... car tellement proche de celle choisie pour mon expo et reprise pour l’entête du site !

Une confirmation supplémentaire de penser que :

Le rêve nourrit notre imaginaire, oxygène notre esprit et en renouvelle l’espace…

Ils étaient impatients, les coquins !


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