De plus en plus, j’ai l’impression - voire même la conviction - que cette dite inspiration est inépuisable ; encore faut-il bien sûr rester attentif aux choses et prendre le temps de les regarder vraiment.
Avec deux titres d’albums de ses camps de dessin (1976 et 1979), mais réunis et aménagés pour ce propos - ci , Pierre Gisling nous le disait déjà fort bien :
« Quand le regard s’arrête, l’imagination est au galop … »
Néanmoins me semble-t-il, le processus ne fonctionne aisément que si une règle complémentaire est respectée : celle de ne jamais négliger la qualité de son attention ! ... ... Ah ! important :
Sans que vous en soyez pleinement conscient, un autre paramètre -- foncièrement vrai et incontestable -- est ou sera constamment présent. Il a pour nom : L’envie … et elle vous porte.
La prochaine rêverie est toujours celle que vous préférez parce que rien n’est encore fait et que tout est possible !
Ne pas oublier non plus que ce qui est à l’amont vous a nourri. Vous avez accumulé des expériences, des émotions. Tout ce qui vous a servi, vous le gardez en vous : c’est certain.
PS. Je me réjouis de notre tout prochain rendez-vous, lequel vous contera l’arrivée de plusieurs nouvelles élucubrations :
Oryx de croquer l’aubergine, Inclination, Coq - girouette,
Flamant de Chancy.