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  • Photo du rédacteurPapipe

Après Cacatoès, Cacaoui … Il y aura peut-être Caracara !

Dernière mise à jour : 19 mai

Vous avez probablement pris connaissance du décès d’Etienne Delessert, le 21 avril 2024.  Né à Lausanne en 1941, fils de pasteur, il fut écrivain, dessinateur et artiste peintre helvético-américain ; il s’est éteint à Lakeville dans le Connecticut.

 

C’était le père de Yok-Yok, petit personnage à bonnet rouge - un chapeau de champignon - qui vivait dans une coquille de noix. Cette création de 1976 faisait suite à une commande de la TSR pour une série de brefs films d’animation destinés à signaler aux enfants la fin de leur programme.

 

Un retour en arrière (au cinéma, on aurait dit « flashback ») nous rappelle qu’à l’été 2000, la Galerie du Château d’Avenches exposa en première une nouvelle série d’Etienne Delessert intitulée : Oiseaux de proie.



Cinquante aquarelles comprenant de vrais oiseaux, peints pour eux-mêmes, allant du rapace au passereau. Toutefois, précisons-le ici, la plus grande partie de l’exposition était consacrée aux

Oiseaux imaginaires

Ainsi sous le fin duvet de plumes, on peut deviner les traits des grands rapaces du monde de la politique et des affaires …




Le prix des œuvres est également flamboyant… mais dans un coin : la possibilité d’acquérir à un prix raisonnable un coffret en édition limitée,

celle des 11 à 100 en particulier…. Ce que je fis avant de ressortir tout ébloui !



Or donc, j’ai réouvert tout dernièrement ce coffret dans lequel mon préféré, le no 56, se trouvait au-dessus de la pile.

Une recherche sur la toile

me confirme que c’est bien le


 Caracara huppé


Un rapace fort répandu en Argentine que l’on rencontre du nord du pays jusqu’à la Terre de Feu. Il appartient à la famille des Falconidés.


L’idée de base est de dénicher un ancien kovà ou coffin comme disent les Français. La difficulté est d’en trouver un … issu d’une corne de bovin.

Il y a quelques deux ans, j’avais trouvé sur Ebay une « paire de » que j’ai achetée en ligne … mais qui n’est jamais arrivée !

Alors appel général : si vous avez une piste ou connaissez quelqu’un qui …. Faites-moi signe. Un grand merci anticipé.


Cette chronique de mi-mai (la 131ème me signale la plateforme Wix.com) a pointé son nez (pour ne pas dire « a fleuri ») alors que les derniers détails pour la fête des carrières de Glay se mettent en place.

Les travaux de forge sont prêts depuis la fin avril. Ceux du tailleur de pierre le sont depuis avant-hier. Un peu de façonnage supplémentaire a été nécessaire pour améliorer la liaison entre le calcaire et le tuf, laissant toutefois la taille des deux plumes de la queue pour l’après- fête. Avec le tuf-calcaire, il convient de prendre quelques précautions.

Aussi, la priorité pour l’heure est-elle accordée au choix des pièces qui accompagneront le courlis de Glay. Marc Pauchard a trouvé du temps pour terminer ses deux créations 2024, à savoir le renard et le rhinocéros.

                                                                                                                                                   Vulpin, le renard                                                          Rhino, le féroce                                                  

                                                                                                                          




Calcaire, St.- Martin Belleroche                                     Kilkenny, calcaire bleu d’Irlande

  Saône et Loire, nord de Mâcon                                       

 

ET maintenant : E la nave va…. 

 

Si vous pensez vraiment que l’aventure est dangereuse…

alors essayez la routine, elle : … Est mortelle !

***************

Néanmoins, cela reste un « gros truc », si l’on en juge la pub qui vient de me parvenir : https://www.carrieres-de-glay.fr/182+echo-des-carrieres.html


[Il suffit de cliquer sur ce lien, puis sur la 1ère page du journal « L’Echo » consacré

à la fête de la carrière de Glay des 25 et 26 mai prochains]

 ***************


Dans l’avant-dernière chronique (09.04), nous parlions du regard des animaux ! Celui du courlis de Glay sera particulier.

En effet, les yeux de ce petit échassier seront en verre.

Noir pour l’iris et jaune pour la cornée, la technique du fusing les réunira. Et … Ils sont arrivés ce jour même. OUF !



C’est aussi l’occasion de vous présenter Madame Magali Kocher, historienne de l’art, verrière, vitro-atelier à La Tour-de-Peilz et Art-thérapeute HES. Un rayon de soleil sur le chemin des élucubrations et naissance probable d’une collaboration qui ne peut être qu’enrichissante. Dans l’instant :  grand merci à cette artiste d’avoir pris spontanément de son temps pour m’apporter l’aide souhaitée.

Sans oublier une affectueuse pensée à Marie-Jo, malheureusement accidentée et qui n’a pas pu relever ce « défi ». On se tient les pouces.


Désolé, mais il est temps de se quitter… dans l’impatience légitime d’aller à la rencontre du savoir-faire : un domaine dans lequel partager quelque chose revient à le multiplier ! A tout bientôt donc, la mine joyeuse et enrichie de tout ce que l’on aura reçu.



Un dernier clin d'oeil dans la version prête au départ pour le Beaujolais méridional ....

SALUT !

77 vues1 commentaire

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1件のコメント


hrossier
5月19日

J’aime bien le rhino féroce! Bon séjour au pays des pierres dorées.

Huguette

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