Chronique automnale de 2024
- Papipe
- 4 oct. 2024
- 2 min de lecture
Le 14 octobre 2023, nous fêtions la centième rêverie « La chaise à gaufres » au caveau Cossy, domaine des Rueyres à Chexbres.
Présente parmi les nominées et convoitée dès l’automne dernier par plusieurs personnes, sans qu’une décision définitive ne soit prise,

Notre Cane en carafe a quitté le bureau de son concepteur
ce 2 octobre dernier.
Elle s’est fait une nouvelle et très bonne amie
au joli prénom de Nadia.
Voici la photo reçue de son nouvel espace.
Un geste apprécié que j’accueille toujours avec reconnaissance.

Quelques jours auparavant, les anciens élèves du Collège de Moudon ont fêté la dissolution de leur association par un repas Gault et Millau chez Suter à Lucens.
Pour la circonstance, le comité avait souhaité une décoration de table. Aussi, « Au Petit Jardin « et votre chroniqueur ont-ils été associés pour la réaliser.
Les élucubrations ne devaient pas avoir plus de 30 cm. de haut et l’idée de la fleuriste Larissa était de les placer dans un nid floral. Magnifique… non !


En souvenir, j’ai reçu les photos des sept tables décorées et je ne résiste pas au plaisir de vous en montrer deux d’entre elles …
Une fois encore le précepte :
« Donner rend heureux, recevoir fait plaisir »
se révèle pertinent !
Ah ! : Des nouvelles du Chat …Pas celui de Philippe Geluck donc, mais bien de celui dont il est question dans la chronique féline du mois dernier. En effet, comme ce propos le laissait entendre, cette future élucubration est une première et sa trajectoire, Ô combien particulière, est fort attendue !
Avec certitude, c’est pour la nième chronique, laquelle devrait sortir dans les quinze jours prochains, si tout se passe bien, … notre tailleur et sculpteur de pierres, Marc Pauchard, étant débordé. (Mais tout le reste est prêt)

Toujours en octobre, mais il y a 35 ans,
nous étions en Chine pour 3 semaines.
A Chengdu, dans le hall de l’hôtel, un artisan graveur
m’a réalisé ce cachet selon un dessin remis en début de soirée.
Le lendemain, je repartais tout ravi
sans savoir si un jour j’allais m’en servir ?
Et puis… avec l’édition des certificats d’authenticité, j’ai repensé au sceau de 1989, lequel m’offrait la possibilité de laisser sur ces derniers une empreinte originale et unique.
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