du covid-19 et de la gestion de ce risque
Nous l’avons entendu souvent, à savoir : l’incertitude ne peut être qu’individuelle et doit le rester. A contrario et ne serait-ce qu’une seule seconde, l’incertitude sociétale ne doit pas exister, ne peut pas « être ». Elle serait trop rapidement et profondément dévastatrice et engendrait une dérégulation sans fin…
Or malheureusement et en quelques mois, nous avons constaté que sur le plan mondial, l'incertitude liée à la méconnaissance de ce virus a en quelque sorte décapité notre société. Elle a révélé et même entraîné une désolidarisation notoire : du chacun pour soi, du chacun sa façon, du chacun sa solution, du chacun sa quantification du risque, qui dans le cas présent est difficilement évaluable.
Admettons, mais sans l’excuser, que l’absence de repères et de statistiques n’ont pas permis de définir des probabilités et d’anticiper par la même sur l’arrivée des événements redoutés et finalement si redoutables !
Elle a plutôt « le cœur de croire que l’on ressortira grandi et meilleur de cette période, et de se demander si ce virus n’aurait pas un message à nous faire passer : celui d’un retour à une société plus humaniste, plus solidaire, plus respectueuse de la nature » !
En même temps, Lui relève avec clairvoyance : « A en croire les bulletins d'information, il n'y a que le COVID et l'élection américaine qui sont importants ! Néanmoins, la désolidarisation montrée par certains est préoccupante et le manque de patience de beaucoup est un réel problème. Parfois il faut savoir attendre aux fins de mieux rebondir ».
Alors, pour que ces regard bigarré et bilan peu glorieux ne nous entraînent pas dans une tristesse frelatée, terminons par cette citation d’Alexandra Julien qui ne peut que ... [ Lise et Yves y-c.] nous réjouir :
« Ne laisse jamais tes doutes t’envahir, ils pourraient devenir des certitudes.
Continue plutôt de croire en tes rêves pour qu’ils deviennent réalité »
N.B. Une opportunité de vous présenter aussi la toute dernière photo de l'Ibis césar.
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