top of page
Rechercher
  • Photo du rédacteurPapipe

Et si… on se redisait Philippine ?

... pour cette double ammonites en fleur !
Cette expression fait référence à un jeu appris durant notre enfance auxquelles deux personnes seulement participent. L’enjeu : rapidité et mémoire ! Ainsi, lorsque toutes deux ont trouvé, par exemple, 2 noisettes ou 2 amandes collées dans une même coque, c’est d’être la 1ère qui dira à l'autre " Bonjour Philippine " – le lendemain ou à une date fixée entre elles – pour gagner le défi lancé.

Oui, cette expression est bien à l’origine du premier concept « Pierre-Fer-Lumière » qui a animé et allumé la rencontre heureuse de nos deux trajectoires :
celle d’Irène Pittet de Suchy (Abat-jours Création) et celle des élucubrations moudonnoises.
La proposition d’une forme d’abat-jour est née à la vue d’un massif d’arbustes de physalis, appelé couramment lanterne japonaise.
Dessein particulier et poétique -- il est vrai -- puisque ce repérage se fit lors d’une promenade inspirée par le sentier littéraire de Gustave Roud, en dessous du lieu-dit « La Louchyre ».
Partant de là : garder la forme de la fleur tout en la retournant vers le haut pour que ses pétales puissent s’ouvrir généreusement fut l’ultime argument pour emporter la pleine adhésion d’Irène.
La réalisation de la structure « carcasse ou armature » de l’abat-jour a connu une gestation riche en réflexions pour tenter de trouver le meilleur équilibre avec sa base en calcaire espagnol « Sangre de toro » … Olé !
ci-dessous de Paulo Coelho :
« Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit que se préoccuper de la meilleure manière d’aller de l’avant »
« Il n’y a qu’une chose qui puisse rendre un rêve impossible, c’est la peur d’échouer »


80 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Comments


bottom of page