"La patience est un arbre dont la racine est amère, et dont les fruits sont très doux"
En vérité, en vérité, je vous le concède : ce proverbe persan, je l’ai vraiment cherché…
parce que plus de 60 jours se sont écoulés depuis l’envoi de la dernière chronique.
Un laps de temps au cours duquel de nombreuses élucubrations ont jailli au fil de découvertes d’anciens outils venus du Val de Travers ou d’Essertines-sur-Yverdon, et de pierres trouvées à Valeyres-sous-Rance ou dans le Chablais vaudois
Or, l’arbre s’est fleuri de rêveries et garni d’alliage fer-roche. Il serait donc temps de libérer ses branches de leurs fruits aux tonalités ocre du Grès toscan, verte de la Serpentinite du Val d’Aoste, violet du Calcaire africain ou bleu du Coquillier de la Molière, mais seulement … les disponibilités estivales du tailleur de pierre sont rarissimes !
Éphémère…ce découragement ? - Oui.
Probablement engendré par ces journées de canicule…
A suivre de près ? - Non pas même, si l’on se dit que :
« A l’eau amère, préférons le merle eau » Salut et à bientôt, j’espère !
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