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  • Photo du rédacteurPapipe

La Chronique s’interroge :


Perte de savoirs ou savoir-faire ? Lagopède des rochers ou Perdrix des neiges ?

Rentrant du « décrassage » bi-hebdomadaire alors que 2019 avait deux jours, je perçois partiellement un entretien de Bernard Stiegler sur Espace 2. Trois mots me font dresser l’oreille : « perte de savoirs ». Bien qu’interpelé, les propos suivants m’ont plutôt tenu à l’écart sur le moment, peut-être trop spécifiques ou trop savants. Mais ne connaissant pas ce Monsieur Stiegler…je suis allé prendre quelques informations sur la toile.

Ouille … du gros grain à moudre.

Aussi, dans la perspective de titiller peut-être votre curiosité, vais-je profiter de cette opportunité pour vous proposer citation, propos préliminaire et 2 liens parmi d’autres.

Ne poursuivez que si d’une part, vous vous trouvez dans la même ignorance que moi sur ce sujet et que d’autre part, « le savoir-faire » de l’artisan vous fascine encore !

« Toute technologie est porteuse du pire autant que du meilleur » Bernard Stiegler

Vous avez envie d’en savoir plus sur le sujet, alors cliquez ci-après sur : Propos no 7

Dès lors, revenons prudemment sur l’avant - dernière rêverie. En effet, lagopède alpin, des rochers ou perdrix des neiges occupait mes rêveries depuis l’automne passé sans trouver toutefois de solution satisfaisante pour la tête qui devait rester fine par rapport au corps.

[[ Aujourd’hui, je réalise que cette rêverie s’inspire

vraisemblablement de ce couple de lagopède alpin

aperçu le 4 août 2016 en dessus de la cabane de

Prarochet, alors que je traversai en solitaire le

glacier du Zanfleuron, de la Quille du Diable au

Lac de Sénin. Mais, le temps d’ouvrir mon Olympus

et il avait déjà disparu derrière un rocher… ]]

BINGO ! Lors d’une exposition de céramique contemporaine, la réponse m’est apparue soudainement ; fallait-il encore trouver l’artisan qui accepte de tenter cette expérience ! Après plusieurs démarches au téléphone ou par courriels et des déplacements infructueux …v’là que l’épilogue se précise avec l’arrivée d’un nouvel acteur en la personne d’Eric Angerhn, potier-céramiste par passion et autodidacte. Son domaine de prédilection est la reproduction de céramiques médiévales. Dans son atelier d’Estavayer-le-Lac, il propose tout un choix de poteries européennes basé sur des données archéologiques. Dès notre 1ère rencontre, il accepte le défi de modeler tête et queue de la perdrix. Le résultat ? à vous de me le dire… Mais, entre nous, sachez déjà qu’il y aura une seconde aventure ! Allez salut et à bientôt.

Ah ! mais la mémoire ... j'allais oublier ...

la voilà cette perdrix des neiges !

et en ce 24 avril 2019 :

un joyeux anniversaire à notre fille Lise.


Je réalise aujourd’hui que cette rêverie s’inspire vraisemblablement de ce couple de lagopède alpin aperçu le 4 août 2016 en dessus de la cabane de Prarochet alors que je traversai le glacier du Zanfleuron de la Quille du Diable au Lac de Sénin. Le temps d’ouvrir mon Olympus, il avait disparu derrière le rocher…

BINGO ! Lors d’une exposition de céramique contemporaine, la réponse m’est apparue soudainement ; fallait-il encore trouver l’artisan qui accepte de tenter cette expérience ? Après plusieurs démarches au téléphone ou par courriels et des déplacements infructueux …v’là que l’épilogue se précise avec l’arrivée d’un nouvel acteur en la personne d’Eric Angerhn, potier-céramiste par passion et autodidacte. Son domaine de prédilection est la reproduction de céramiques médiévales. Dans son atelier d’Estavayer-le-Lac, il propose tout un choix de poteries européennes basé sur des données archéologiques. Dès notre 1ère rencontre, il accepte le défi de modeler tête et queue de la perdrix. Le résultat ? à vous de me le dire… Mais, entre nous, sachez déjà qu’il y aura une seconde aventure ! Salut à tous et à bientôt.


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